Notre histoire
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1946 : Création de l'ACADI
L’ACADI – Association de cadres dirigeants pour le progrès social et économique - a été créée en février 1946 par des personnalités désireuses d’assurer « l’étude en commun et la diffusion de toutes les expériences et mesures susceptibles de promouvoir le progrès social et économique au service de l’intérêt général ». Mais l’ACADI est aussi un « mouvement », mouvement de pensée, d’idées ou de convictions, dont les origines remontent en fait au Sillon de Marc Sangnier, au catholicisme social d’après 1920, ou au « groupe X-Crise » qui vécut de 1931 à 1940. C’est ce qui explique les racines humanistes de l’ACADI, c’est aussi la raison pour laquelle l’ACADI est restée une association de personnes physiques de façon à pouvoir se distinguer des seuls intérêts de l’entreprise. -
1950-1980 : Les Trente Glorieuses
La période de plus grande influence de l’ACADI fut certainement celle des « Trente Glorieuses » (de 1950 à 1980) au cours de laquelle son attachement au progrès social et économique coïncida avec la croissance exceptionnelle du pays et ses multiples réalisations dans le domaine de la solidarité et de la protection sociale. Par ses nombreuses Commissions, son influent « Bulletin de l’ACADI », l’association a suscité ou soutenu nombre d’avancées dans le domaine socio-économique (logement social, dialogue social, …) en respectant une optique de réalisme de progrès. -
1981-2020 : L'émergence d'un monde nouveau
Depuis 1981, le « modèle social français » a connu des difficultés croissantes exacerbées par la mondialisation. Dans ce contexte, l’ACADI a cherché comment concilier sa fibre humaniste avec l’adaptation nécessaire et exigeante au monde nouveau du XXIème siècle. Ses travaux les plus marquants ont porté sur les risques technologiques majeurs, l’éthique personnelle du dirigeant et la définition d’un nouveau progrès social ; plus récemment sur le développement de l’économie collaborative, les nouvelles modalités de la participation citoyenne, l'efficacité de l'Etat et des services publics.